
Nous continuons ce soir notre étude de la Parole de Dieu en ce qui concerne le mariage et la famille. Ouvrons nos Bibles à Ephésiens, chapitre 5 et relisons notre texte. Éphésiens chapitre 5, versets 22 à 24. « Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. » Ici, Dieu appelle très clairement la femme à se soumettre à son mari. C'est le dessein de Dieu pour sa bénédiction à elle, pour sa bénédiction à lui, la bénédiction de leurs enfants, la bénédiction de l'église.
Il est impératif que les femmes comprennent cette responsabilité cruciale. Mais la plupart des femmes aujourd'hui ne le font pas. Dans une merveilleuse expression de compréhension de cela, Laura Miller a écrit ce qui suit : « J'ai été créée pour aider les autres. C'était le but déclaré dans Genèse 2 : 18 quand Dieu a donné la femme à l'homme, pour débarrasser l'homme de sa solitude et pour lui être une aide. Tout comme je remplis parfaitement mon but en tant qu'humain quand je glorifie et apprécie Dieu, quand je suis une aide je réalise parfaitement mon but en tant que femme. En étant une aide, je ne suis pas une personne inférieure à mon mari. Ma féminité n'empêche certainement pas Dieu dans Son dessein souverain de m'appeler à Lui-même, ni de me lier à une moindre relation avec Lui. En effet, l'Écriture démontre que Dieu n'a pas considéré le fait que je sois un homme ou une femme quand Il m'a sauvé, car il n'y a ni Juif ni Grec, ni esclave ni libre, ni homme ni femme, car vous êtes tous un en Jésus Christ. En me plaçant dans la hiérarchie économique de la famille de l'église, ma féminité était intrinsèquement liée à l'appel. Mais en me choisissant pour recevoir Son appel, le fait d’être une femme était accessoire. »
Bien dit ! Et un sens d’identité si clair est franchement rejeté par beaucoup de femmes dans l'église aujourd'hui et mal compris par elles. Elles n'arrivent pas à comprendre la différence entre ce qu'elles sont dans le Royaume et ce qu'elles sont dans la famille. Elles n’arrivent pas à se soumettre au dessein de Dieu conçu spécialement pour elles.
Maintenant, un bon endroit pour commencer à réadapter ce soir le rôle des femmes est de commencer là où nous nous sommes arrêtés la dernière fois. Ouvrez vos Bibles à Proverbes 31. J'ai fait quelques commentaires sur Proverbes 31 dimanche soir dernier et un certain nombre d'entre vous sont venus me voir pour demander des commentaires supplémentaires, et je vais vous les donner ce soir. Avez-vous feuilleté quelques vieux magazines ces derniers temps ? Est-ce que vous faites cela de temps en temps ? Je veux dire, le genre que vous voyez dans les vieilles librairies qui vendent des livres d’occasion ou quand vous, pour une raison ou une autre, vous cherchez quelque chose dans un placard ou dans le grenier ? Avez-vous remarqué comment les femmes étaient représentées ? Une mère qui berce un bébé, une femme qui cuisine un dîner, une femme qui lit une histoire à ses enfants, cela vous semble-t-il étranger ? Et quand vous regardez les femmes aujourd'hui dans les magazines, que voyez-vous ? Une femme portant une mallette se rendant au travail dans une rue bondée ! Une femme en collants faisant de l'aérobic ! Une femme dans un maillot de bain étriqué à moitié exposée qui ne fait que créer des problèmes !
Quel genre de femme est le prototype de la femme des années 90 ? Qu'est-ce que la super-femme moderne est censée être ? Peut-être quelque chose comme cela : elle travaille, elle construit sa propre carrière, demande un salaire égal, refuse de se soumettre à son mari, exige l'égalité avec lui en tout, a une affaire ou deux, et un divorce ou deux. Elle exerce son indépendance, dépend de ses propres ressources, ne veut pas que son mari ou ses enfants menacent ses objectifs personnels, elle a son propre compte en banque. Elle embauche une femme de ménage ou un service de nettoyage, mange au restaurant au moins 50% du temps avec sa famille ou sans elle, sert des céréales et du café pour le petit déjeuner de sa famille, prépare des plats surgelés, ou elle appelle un restaurent qui livre des pizzas, attendant de son mari qu'il fasse sa part du ménage. Elle est bronzée, coiffée, sculptée, adepte de la musculation, elle fait du shopping pour suivre les tendances de la mode, s'assurant qu'elle peut rivaliser dans le concours d'attention, elle met ses enfants dans une garderie, s'assure que chacun a une télévision dans sa chambre ou une radio ou un lecteur de CD afin qu'ils puissent être divertis. Elle est opiniâtre, exigeante, veut être entendue, désireuse d'accomplir tous ses objectifs personnels.
C'est la femme moderne des années 90 qui est applaudie par la culture. Elle ne peut pas rester mariée ou heureuse, ses enfants ont des ennuis avec la loi et parfois se droguent. Elle est loin de la femme que Dieu a appelée « la femme vertueuse ».
Laissez-moi vous rappeler la femme vertueuse, selon Dieu. Regardez le verset 10, Proverbes 31, « Qui peut trouver une femme vertueuse ? Elle a bien plus de valeur que les perles. Le cœur de son mari a confiance en elle, Et les produits ne lui feront pas défaut. Elle lui fait du bien, et non du mal, Tous les jours de sa vie. Elle se procure de la laine et du lin, Et travaille d'une main joyeuse. Elle est comme un navire marchand, Elle amène son pain de loin. Elle se lève lorsqu'il est encore nuit, Et elle donne la nourriture à sa maison et la tâche à ses servantes. Elle pense à un champ, et elle l'acquiert; Du fruit de son travail elle plante une vigne. Elle ceint de force ses reins, Et elle affermit ses bras. Elle sent que ce qu'elle gagne est bon; Sa lampe ne s'éteint point pendant la nuit. Elle met la main à la quenouille, Et ses doigts tiennent le fuseau », ce qui signifie qu'elle tisse. « Elle tend la main au malheureux, Elle tend la main à l'indigent. Elle ne craint pas la neige pour sa maison, Car toute sa maison est vêtue de cramoisi. Elle se fait des couvertures, Elle a des vêtements de fin lin et de pourpre. Son mari est considéré aux portes, Lorsqu'il siège avec les anciens du pays. Elle fait des chemises, et les vend, Et elle livre des ceintures au marchand. Elle est revêtue de force et de gloire, Et elle se rit de l'avenir. Elle ouvre la bouche avec sagesse, Et des instructions aimables sont sur sa langue. Elle veille sur ce qui se passe dans sa maison, Et elle ne mange pas le pain de paresse. Ses fils se lèvent, et la disent heureuse; Son mari se lève, et lui donne des louanges : Plusieurs filles ont une conduite vertueuse; Mais toi, tu les surpasses toutes. La grâce est trompeuse, et la beauté est vaine; La femme qui craint l'Eternel est celle qui sera louée. Récompensez-la du fruit de son travail, Et qu'aux portes ses œuvres la louent. »
C'est la femme que Dieu exalte. Et en passant, plus tôt dans les Proverbes, il y a d'autres femmes décrites. Une femme adultère qui flatte avec ses lèvres est décrite, une femme adultère qui abandonne son propre mari et rompt son alliance. On y décrit une femme adultère dont les lèvres dégoulinent de miel, une femme adultère à la langue lisse qui chasse pour la vie précieuse d'un homme seulement pour le détruire. La femme bruyante, la femme folle, la femme rebelle, la femme querelleuse et quelques autres variétés sont décrites dans les Proverbes. Mais finalement, quand vous arrivez à Proverbes 31, vous avez la femme vertueuse.
En fait, tout ce chapitre dans les Proverbes vient d'une mère juive qui explique à son fils comment choisir une femme. Revenez au verset 1. « Conseils d’une mère à son fils qui est roi ». » Maintenant, tout cela concerne ce qu'une mère a besoin d'enseigner à son fils. Et dans les versets 1 et 2 : « Que te dirai-je, mon fils ? que te dirai-je, fils de mes entrailles ? Que te dirai-je, mon fils, objet de mes vœux ? » En d'autres termes, que voulez-vous savoir ? « Ne livre pas ta vigueur aux femmes, et tes voies à celles qui perdent les rois. » Qu'est-ce que cela signifie ? Restez à l'écart de l'immoralité sexuelle. C'est la première leçon importante que cette mère enseigne à son fils. Nous ne savons rien de la mère de Lemuel, mais elle lui a appris à rester loin de l'immoralité sexuelle.
Et au verset 4 : « Ce n'est point aux rois, Lemuel, ce n'est point aux rois de boire du vin, ni aux princes de rechercher des liqueurs fortes, de peur qu'en buvant ils n'oublient la loi, et ne méconnaissent les droits de tous les malheureux. Donnez des liqueurs fortes à celui qui périt, et du vin à celui qui a l'amertume dans l'âme; qu'il boive et oublie sa pauvreté, Et qu'il ne se souvienne plus de ses peines. » La première chose c’est de rester loin de l'immoralité sexuelle, et la seconde c’est de rester à l'écart de l'alcool. En outre, au verset 8, « Ouvre ta bouche pour le muet, pour la cause de tous les délaissés. Ouvre ta bouche, juge avec justice, et défends le malheureux et l'indigent. »
Quelques bonnes leçons ! Restez à l'écart de l'immoralité sexuelle. Restez loin de la drogue et de l'alcool. Prenez soin des personnes blessées. Défendez ceux qui ne peuvent pas se défendre. Tenez-vous près des opprimés. Soutenez les nécessiteux et traitez d’une façon juste avec tout le monde. C'est la première vague de leçons. Et puis, au verset 10 vient la leçon principale : « Qui peut trouver une femme vertueuse ? » La chose la plus importante ! La femme décrite ici est d’une valeur inestimable. Ce n'est pas une femme en particulier ; c'est la femme modèle ici. Elle a une force physique, mentale, morale et spirituelle. Elle aime Dieu avec révérence et son mari aussi.
Et dans les versets 10 à 31, la mère de Lemuel décrit la femme parfaite. Elle décrit son caractère d'épouse, son caractère de femme au foyer, sa générosité de voisine, son influence en tant qu'enseignante, son efficacité en tant que mère et son excellence en tant que personne. Et d'ailleurs, à partir du verset 10 et jusqu'au verset 31, la chanson de l'excellente épouse est un acrostiche hébreu. Chacun de ces 22 versets commence par les lettres de l'alphabet hébreu dans leur ordre normal : aleph, beth, gimel, daleth, et ainsi de suite. C'est un acrostiche brillamment conçu par l'esprit de Dieu pour décrire la femme parfaite. Comme je l'ai dit, il ne s'agit pas d'une femme en particulier, mais du portrait complet de ce que chaque femme devrait chercher à devenir et de la femme que tout homme voudrait avoir.
Cette femme est pour son mari un cadeau de Dieu. Trouver cette femme, c'est trouver un trésor inestimable. Au verset 14 du chapitre 19, Proverbes dit : « Une femme prudente, ou une femme sage, vient du Seigneur. » Vous pouvez obtenir votre maison et votre richesse en héritage de votre père, mais votre femme vient du Seigneur. Matthew Henry, le vieux commentateur a dit, « C'est le miroir pour toutes les femmes chrétiennes. » C’est un portrait magnifique. Et cela se concentre sur les choses mêmes de la femme modèle que représente le Nouveau Testament.
Dans cet esprit, revenons au chapitre 5 d'Éphésiens. Maintenant, nous avons déjà discuté de la question de la soumission au verset 22 : « Femmes, soyez soumises à votre mari. » Nous en avons déjà discuté. La femme doit se soumettre, c'était notre thème la dernière fois. Nous avons donc examiné la question de la soumission. Passons à la manière de se soumettre. Non seulement la femme doit se soumettre, mais il y a une façon de se soumettre. « Comme au Seigneur » ! « Répondez à votre mari avec soumission», écoutez-le, «comme si vous répondiez à Jésus-Christ.» Ceci, en passant, est un acte d'accusation dévastateur contre ceux qui nient la soumission d'une femme. C'est la volonté de Christ, et lorsque vous vous soumettez à votre mari, vous vous soumettez au Seigneur. Vous répondez ainsi à Christ. Comme une femme doit être soumise au Seigneur lui-même, elle doit être soumise à son propre mari comme s'il était le Christ.
Et je suppose qu'il y a beaucoup de femmes qui pensent qu'elles sont en parfaite soumission à Christ mais le manque de soumission à leur mari indique qu'elles ne le sont pas. La question de la soumission est très simple : soyez soumise à votre propre mari. Nous avons défini cela la dernière fois. La manière de se soumettre, comme au Seigneur. Avec le même niveau de dévotion que vous donnez au Seigneur, soumettez-vous à votre mari.
Troisièmement, Paul souligne le motif de cette soumission au verset 23 : « Car le mari est le chef de la femme ». C'est le dessein de Dieu. C'est le plan divin. De même qu'un corps se soumet au cerveau qui est dans la tête par conception, ainsi la femme se soumet au mari qui est la tête. Quand vous voyez un corps qui ne répond pas à la tête, vous voyez une difformité, vous voyez quelque chose qui n'est pas normal. Vous voyez une personne dysfonctionnelle. Et c'est la même chose dans un mariage. Lorsqu'une femme ne se soumet pas, il y a déformation, une difformité et un dysfonctionnement. Dieu a conçu le corps pour répondre à la tête et le mari est la tête de la femme.
Ensuite, quatrièmement, il y a le modèle de la soumission. La question de la soumission, la manière de soumission, et puis il y a cet aspect très important du motif qui signifie essentiellement que vous répondez parce que c'est l'ordre donné. Ensuite, le modèle de la soumission, verset 23, « comme Christ est le chef de l'Eglise ». En d'autres termes, vous devez vous soumettre à votre mari comme l'église se soumet à Christ. Avec le même cœur disposé que l'église qui obéit au Christ, la femme doit se soumettre à son mari. Maintenant, c'est un concept très noble, mesdames et messieurs. Je veux dire, nous parlons d'un modèle significatif ici. De la même manière complète, non réticente, joyeuse, que l'église doit se soumettre au Christ, vous devez vous soumettre à votre mari.
Et puis, il ajoute au verset 23 : « qui est son corps et dont il est le Sauveur. » Nous nous soumettons anxieusement et joyeusement à celui qui nous sauve, à savoir le Seigneur Jésus-Christ. L'église se soumet volontiers au Christ. Nous comprenons notre faiblesse. Nous comprenons Sa force. Nous soumettons notre faiblesse à Sa force dans l'église et nous devons faire la même chose dans le mariage. Une femme doit réaliser que son mari est son protecteur, son libérateur. C'est ce que le mot « sauveur » signifie. Elle doit humblement s'abandonner à cette protection, à ces soins.
Et puis, cinquièmement, il y a un autre élément, et nous allons développer ces éléments de sorte que nous ne faisons que commencer par une introduction. Le cinquième point est l'ampleur de la soumission. Verset 24 : « Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris. », et voici la grandeur, en quoi ? « En toutes choses. » La question de la soumission est très clairement indiquée ici. C'est indiscutable : la femme doit se soumettre à son mari. Et de quelle manière ? Comme au Seigneur. Le motif, c’est parce que c'est le dessein de Dieu de faire en sorte que le mari soit la tête de la femme. Le modèle, c’est la manière dont l'église se soumet à Christ. Et la grandeur est dans tout. C'est le dessein de Dieu.
Maintenant, comment fonctionne cette soumission ? Quel est le caractère ou la nature de cette soumission ? À quoi cela ressemble-t-il ? La meilleure réponse à cela est d’ouvrir votre Bible à Tite et de regarder avec moi au chapitre 2. Et nous allons passer du temps dans Tite et aussi dans l'épître de Paul à Timothée. C'est un enseignement très, très important. Mais je veux que vous regardiez le chapitre 2 de Tite, versets 3 à 5, et je vais lire le passage et ensuite nous ferons quelques commentaires sur ce passage et d'autres qui sont très, très importants. « Dis que les femmes âgées doivent aussi avoir l'extérieur qui convient à la sainteté, n'être ni médisantes, ni adonnées au vin; qu'elles doivent donner de bonnes instructions, dans le but d'apprendre aux jeunes femmes à aimer leur mari et leurs enfants, à être retenues, chastes, occupées aux soins domestiques, bonnes, soumises à leur mari, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée. »
Maintenant, nous arrivons à une instruction très spécifique. Cela est donné, tout d'abord, au verset 3, aux femmes plus âgées. Et les femmes plus âgées ont la responsabilité, bien sûr, de vivre des vies pieuses, d'être respectueuses dans leur comportement, de ne pas commérer, de ne pas boire de vin, de ne pas en être l'esclave. Mais voici la chose principale sur laquelle vous voulez vous concentrer pour notre étude : enseigner ce qui est bien, parce que c'est la déclaration transitoire qui vous amène aux versets 4 et 5. Les femmes plus âgées doivent se comporter de manière pieuse. Après leurs années d'éducation familiale, elles prennent le rôle de professeurs et de mentors. La qualité spirituelle qu'elles conservent dans leur vie leur permet d'être l'influence essentielle sur la prochaine génération de femmes. En d'autres termes, il faut une génération de femmes âgées pieuses pour instruire une nouvelle génération de jeunes femmes.
Elles sont littéralement les enseignantes de ce qui est bien. Kalodidaskalos est un mot merveilleux. Elles sont les maîtresses du bien, ou de ce qui est noble, excellent et élevé. Par leur vie, par la manière dont elles se comportent, elles doivent transmettre la vertu à la prochaine génération de femmes. Les premiers mots du verset 4 montrent la relation importante : « dans le but d'apprendre aux jeunes femmes. » Qu'elles encouragent. Qu'elles puissent, pour le dire en d'autres termes, avertir, instruire. C'est un mot riche. En fait, le mot « encourager » est un mot un peu unique, sōphronizō, qui signifie littéralement s'entraîner à la maîtrise de soi. Certains ont dit que cela signifie de stabiliser quelqu'un par des conseils, pour les aider à raffermir leur vie. Cela signifie enseigner à quelqu'un la maîtrise de soi, l'autodiscipline, la sensibilité, la prudence, tout cela. Ainsi, les femmes âgées ont une grande responsabilité d'enseigner aux personnes, à savoir les jeunes femmes, d'être sobres, d'être équilibrées, d'être stabilisées par leurs conseils, de devenir raisonnables, de devenir prudentes, de s'auto-discipliner. Tous ces mots anglais pourraient traduire différentes formes de ce mot grec.
Une forme de la racine de ce mot est utilisée dans 1 Timothée 2, versets 9 et 15, et est traduit « discrètement et avec retenue ». Vous leur apprenez la discrétion. Vous leur apprenez la pudeur, la retenue. Je suppose que cela nous ramène à l'endroit où nous avons commencé, pour former quelqu'un à la maîtrise de soi. C'est la pensée, afin que les jeunes femmes soient raisonnables, disciplinées, sages, discrètes, maîtrisées, et autocontrôlées.
Maintenant, quand il est question de « jeunes femmes », nous devons nous poser la question : à quel âge cela se réfère-t-il ? la réponse simple est : celles qui sont avec les familles, celles qui sont encore capables d'avoir des enfants et qui sont encore en train d'élever des enfants. Celles qui sont des mères dont les enfants sont toujours sous leur garde.
Pour développer davantage cette idée de jeunes femmes et qui elles sont, ouvrez vos Bibles à 1 Timothée, chapitre 5. Nous essayerons d'être aussi complets que possible dans cette étude en raison de son importance. Mais 1 Timothée chapitre 5 et versets 9 à 15 est un passage très, très important dans les Écritures. Et laissez-moi vous dire, il a une grande application de ce point. Verset 9 de 1 Timothée 5, « Qu'une veuve, pour être inscrite sur le rôle, n'ait pas moins de soixante ans. » Maintenant, laissez-moi vous arrêter là. Nous savons par l'église primitive qu'il y avait des anciens, des diacres et des diaconesses. Ils sont tous mentionnés dans 1 Timothée chapitre 3. Mais apparemment ici, ils avaient aussi un autre groupe de serviteurs dans l'église, des serviteurs spéciaux qui étaient des veuves pieuses. Et apparemment, elles ont reçu un statut officiel, et « elles ont été mises sur une liste, comme le dit le verset 9, en tant que servantes officielles dans l'église. C'étaient des femmes plus âgées, âgées d'au moins 60 ans. Et elles avaient la responsabilité principale de servir les jeunes femmes, de diriger les jeunes femmes.
Et comme il y a des qualifications pour les anciens, des qualifications pour les diacres, des qualifications pour les diaconesses, il y a donc des qualifications pour ces femmes plus âgées qui doivent être inscrites sur la liste des fonctionnaires pour instruire des jeunes femmes. Le fait qu'il y ait des qualifications données ici soutient l'idée qu'ils servaient dans une sorte de capacité officielle. Apparemment, l'église primitive tenait des listes de ces femmes. Leurs domaines de service incluaient probablement la visite des jeunes femmes de l'église, pour fournir l'enseignement et le conseil, ainsi que peut-être visiter les malades et les affligés, et fournir l'hospitalité aux voyageurs, tels que les prédicateurs itinérants et les évangélistes. Elles avaient probablement aussi un ministère auprès des enfants, se servant de grand-mère à tous. En passant, à cette époque, les enfants étaient souvent laissés sur la place du marché parce que leurs parents ne les voulaient pas. Les garçons abandonnés étaient souvent entraînés à devenir des gladiateurs. Les filles abandonnées ont été emmenées dans des maisons closes et élevées pour être des prostituées. Il est très probable que les veuves, ayant trouvé de tels enfants abandonnés, les aient placées dans de bonnes maisons afin qu'ils puissent recevoir des soins appropriés. À propos, si l'église d'aujourd'hui les reconnaissait et avait un groupe de veuves pieuses avec la même préoccupation, ses jeunes femmes en bénéficieraient grandement. Dieu veut que ces sortes de veuves soient actives dans l'église, pas retirées.
L'enrichissement spirituel devait passer d'une génération à l'autre, et c'est le groupe parfait pour faire cela. En passant, dans les temps anciens, et je pense encore aujourd'hui, c'est un chiffre raisonnable, l'âge de 60 ans marque une sorte de période où l'on pense se retirer de l'activité, s'engager dans la contemplation philosophique. Pourquoi ? Parce que, pour la plupart, l'éducation des enfants a été faite. C'est facile à comprendre. En principe, les femmes peuvent avoir des enfants jusqu’à la quarantaine. Et puis, elles traversent une période de ménopause, après quoi elles ne peuvent plus avoir d'enfants. Si les femmes sont encore capables d'avoir des enfants au début de la quarantaine, elles ont déjà atteint 60 ans quand les enfants sont grands. Si vous avez des enfants dans la quarantaine, vous les garderez jusqu'à que vous ayez 60 ans. Mais après cette période, les femmes n'ont plus d'enfants et le processus parental est terminé après 60 ans. Et c'est à ce moment qu'elles sont prêtes, ayant fait leur travail de mère, ayant élevé leurs enfants, elles sont maintenant prêtes à transmettre à la prochaine génération l'instruction appropriée. Il est également improbable que les femmes de cet âge se sentent obligées de se remarier, et qu'elles puissent ainsi se consacrer entièrement à la responsabilité d'élever une génération de jeunes femmes pieuses.
Maintenant, les seules femmes qui pourraient figurer sur cette liste sont définies pour nous. Au verset 9, elles devaient être l'épouse d'un homme. Littéralement cela signifie la femme d’un seul homme. Autrement dit, elles ont été fidèles à leur mari. Elles étaient pures et chastes. Les qualifications sont très, très claires. Il ne se réfère pas nécessairement à une femme qui n'avait eu qu'un seul mari parce que dans ce même passage, les femmes qui étaient veuves quand elles étaient jeunes ont reçu l'ordre de se remarier. Et il n'était pas rare que les hommes meurent jeunes fréquemment à cette époque de l'histoire, et une femme pouvait avoir un certain nombre de situations où son mari est mort et elle serait libre de se remarier. Donc, il ne s'agit pas forcément d'avoir qu’un partenaire de mariage, mais d'être dévoué à celui qui était son partenaire actuel, la femme d’un seul homme à la fois.
1 Timothée 5 : 14 dit : « Je veux donc que les jeunes se marient.» Et 1 Corinthiens 7 : 39 dit : « Une veuve est libre de se marier à qui elle veut; seulement, que ce soit dans le Seigneur.» Donc, il ne parle pas de quelqu'un qui n'avait qu'un mari, mais plutôt celle qui a démontré la fidélité complète à son mari, et sa relation de mariage n'avait aucun défaut. Elle est connue comme une femme vertueuse et chaste. Ensuite, au verset 10, elle doit avoir une réputation de bonnes œuvres. Et elle les définit : elle doit avoir élevé des enfants, avoir fait preuve d'hospitalité envers des étrangers, avoir lavé les pieds des saints, avoir aidé ceux qui sont en détresse en se consacrant à tout bon travail. Ce doit être une femme de grande vertu qui est mis sur la liste officielle, qui devient une enseignante dans l'église.
Et il y a cinq spécificités qui ressemblent beaucoup à ce que nous lisons dans Proverbes 31. Premièrement, si elle a élevé des enfants. Elle doit avoir été une mère pieuse. Comment peut-elle instruire une génération de mères si elle n'en a pas été une ? Être une mère est l'un des plus grands privilèges, bien sûr, qu'une femme peut avoir parce que son influence affecte grandement le caractère de ses enfants. Cela ne signifie pas qu'une femme sans enfants a moins de valeur pour Dieu. Son plan et Son dessein pour elles sont tout aussi importants. Et en fait, dans 1 Corinthiens 7, une personne seule est exaltée parce qu'elle peut être uniquement dévouée au Seigneur. Mais élever des enfants est la norme pour la plupart des femmes. Et la mère qui vit dans la foi, l'amour et la sainteté avec sobriété, comme le dit 1 Timothée 2 : 15, est un modèle que les autres femmes devraient suivre. Et elle élève une génération d'enfants avec ces mêmes vertus.
Deuxièmement, elle doit être hospitalière. Elle doit avoir hébergé des étrangers, logé des missionnaires et des voyageurs, des évangélistes itinérants, des prédicateurs et d'autres chrétiens qui se déplaçaient d'un endroit à l'autre. Elle doit avoir une vie ouverte, une maison ouverte et un cœur ouvert. Et elle doit être connue aussi, dit le verset 10, pour avoir lavé les pieds des saints. Elle doit être humble. C'est une femme vertueuse. Elle a élevé des enfants. Elle a fait preuve d'hospitalité. Et elle est humble. Toutes les routes étaient poussiéreuses ou boueuses, selon qu'elles étaient sèches ou mouillées. Les personnes devaient se laver les pieds, elle se baissait et faisait le service le plus bas de tous, lavant les pieds des personnes. Elle doit avoir été désintéressée, démontrée par le fait qu'elle aidait les personnes en détresse. Cela signifie qu'elle a soulagé les affligés, comme le dit une traduction. Elle parle d'être une personne qui s'engage à consacrer son temps à d'autres et pas à elle-même et dévoué à tout bon travail. Elle doit être gentille, comme Dorcas, nous lisons à son sujet dans Actes 9, fabriquant des vêtements pour des personnes qui n'en avaient pas.
Maintenant, la femme qui vit ces vertus devient l'enseignante des bonnes choses. C'est le genre de femme qui peut enseigner aux jeunes femmes. Maintenant, regardez plus bas dans ce texte au verset 11. Nous sommes toujours dans 1 Timothée 5. « Mais refuse les jeunes veuves. » Ce n'est pas une liste pour les jeunes femmes. Ne les mettez pas sur la liste. Pourquoi ? « Car, lorsque la volupté les détache du Christ, elles veulent se marier, et se rendent coupables en ce qu'elles violent leur premier engagement. » En d'autres termes, une veuve perd son mari, voici un scénario typique, et elle se sent mal. Et, bien sûr, c'est une perte énorme. Au moment de la perte et dans la tristesse de tout cela, se sentant comme elle ne trouvera jamais un autre homme comme celui qu'elle avait comme mari, elle dit : « Je vais consacrer le reste de ma vie à Christ, je ne me marierai jamais, personne ne pourra jamais égaler mon mari, je donnerai le reste de ma vie à Christ. » Et elle vient et dit : « S'il vous plaît, mettez-moi sur la liste, je ferai partie de ceux qui serviront l'église le reste de ma vie, je ne veux pas me remarier. » Et Paul dit de ne pas la mettre sur la liste. « Car quand elles ressentent des désirs sensuels », ce qui est normal pour une jeune femme, « au mépris de Christ, elles veulent se marier. » En d'autres termes, elles se retourneront contre leur vœu. Elles auront un fort désir et elles vont ressentir les impulsions du désir sexuel normal. En passant, il se réfère au désir d'une femme pour un homme et tout ce que cela implique. C'est le seul verset du Nouveau Testament où ce mot est trouvé. Il est trouvé en dehors de l'Écriture dans une illustration que j'ai trouvée d'un bœuf essayant d'échapper à un attelage. Elle aura l'impression d'être un fardeau pour elle-même, elle ne pourra pas s'en sortir et elle s’irritera à cause de cela, une veuve essayant de sortir de son vœu irréfléchi. Et alors, non seulement elle va regretter son serment, mais sa frustration peut la conduire à être en colère contre le Seigneur. C'est tragique ! Donc, vous ne devez pas la mettre sur la liste à cause de cela.
Deuxièmement, ne la mettez pas sur la liste à cause du verset 13, « Avec cela, étant oisives, elles apprennent à aller de maison en maison. » Apparemment, cela nous dit ce que ces veuves ont fait. Elles ont circulé de maison en maison, pour encadrer, enseigner, instruire. Mais quand une veuve plus jeune le fait, cela se transforme en oisiveté, en promenade. Elle peut avoir été motivée initialement par le désir d'instruire et de conseiller mais la jeune femme qui circule sans la maturité et la sagesse des femmes plus âgées collectionne juste beaucoup de nouvelles vraiment chaudes, et les ragots, beaucoup d'informations personnelles sur la vie des personnes et des maisons qui n'ont pas besoin d'être diffusées, mais sans la sagesse de le savoir, elle devient un problème. Et ce qui était à l’origine un engagement fort envers le Seigneur, devient au mieux une occasion sociale, de commérage. Elles circulent de maison en maison et ne sont pas simplement oisives, dit-il au verset 13, mais aussi des bavardes et des commères, parlant de choses qu'il ne convient pas de mentionner. Donc, ne les mettez pas sur la liste.
Voici ce que je veux qu'ils fassent, le verset 14, « Je veux donc que les jeunes se » quoi ? « Qu’elles se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles dirigent leur maison.» C'est tout ! C'est ce que cela dit. Je veux juste qu'elles s'acquittent de la responsabilité que Dieu leur a donnée : se marier, avoir des enfants, garder la maison. Pouvez-vous imaginer quelqu’un allant dans n'importe quelle université aujourd’hui pour annoncer cela comme modèle pour les femmes ? Se marier, porter des enfants, garder la maison ? Vous seriez un homme mort. Mais c'est vrai. J'aimerais avoir cette plate-forme, mais personne ne me la donnera. Les veuves plus jeunes ont besoin de se remarier pour ne pas avoir de forts désirs. Elles ont besoin de se remarier pour ne pas devenir oisives. Elles ont besoin d'avoir des enfants ; c'est le but de Dieu pour la plupart des femmes. Perdre un mari ne change pas cela. Et puis, Paul parle de garder la maison, ou littéralement gouverner la maison, gérer la maison. C'est toujours la sphère de la femme si elle est mariée. Le mari fournit les ressources, les ramène à la maison, et la femme les gère, les dispense et les applique au nom de sa chère famille.
Elle doit également maintenir sa piété afin que l'ennemi ne se puisse jamais le lui reprocher, car certaines se sont déjà détournées pour suivre Satan. Elle doit maintenir un témoignage divin. Et les veuves plus jeunes qui se remarient, doivent élever des enfants pieux en gérant correctement le foyer, ne donnent aucune raison de critiquer l'église. Mais les femmes qui violent ces choses le font. Certaines de ces femmes se promènent en liberté, sans la protection d'un mari, sans la direction d'un mari, elles écoutent de faux docteurs, agissent selon leurs convoitises, répandent des mensonges, se comportent comme des affairistes et se détournent du Christ.
Donc, les femmes sont considérées comme jeunes lorsqu'elles ont moins de 60 ans, n'est-ce pas bon ? Elles sont jeunes quand elles élèvent encore des enfants. Les femmes plus âgées ont la responsabilité d'instruire ces jeunes femmes et de leur enseigner ce qui est absolument essentiel.
Maintenant, retournons à Tite et voyons ce que ces femmes enseignent réellement. Tout d'abord, Tite chapitre 2, « elles doivent donner de bonnes instructions, dans le but d'apprendre aux jeunes femmes », premièrement, « à aimer leur mari. » C'est un mot, philandros - être amoureuse du mari. C'est vrai, être amoureuse du mari. Il est dit dans Ephésiens 5 : 25, « Maris, aimez vos femmes », et ici, il dit, fondamentalement, apprendre aux jeunes femmes à aimer leurs maris. Il y a un amour mutuel en plus d’une soumission mutuelle. Soyez amoureuse du mari. Ceci est un commandement et un commandement exige l’obéissance et estime qu’il est possible d’obéir. En d'autres termes, si Dieu commande cela, alors il suppose que vous pouvez le faire. Parfois, vous entendez une femme dire : « Je n'aime pas mon mari.» Et j'ai une réponse standard à cela : « confessez ce péché immédiatement. Jeûnez et priez et demandez à Dieu de vous montrer le chemin de justice dans lequel vous pouvez aimer votre mari. » C'est un péché de ne pas aimer son mari.
Vous dites : « Je l'aimais, vous savez, quand les fusées partaient, les cloches, les sifflets et tout cela, mais maintenant c’est une sorte de routine avec une cloche occasionnelle ou un sifflet. » Eh bien, ce n’est pas ce qui fait un mariage car un mariage est un engagement à aimer, ne pas aimer est un péché. Cet amour est un amour mûr, sacrificiel, purificateur, attentionné. Ce n'est pas l'amour de l'émotion du début. Évidemment, après avoir été marié pendant un certain temps, vous ne courez pas comme une folle le voir comme vous faisiez lorsque vous êtes tombée amoureuse, et vous ne pouviez pas parler, penser ou contrôler votre vie. C'est l'amour en profondeur et l'engagement qui voit passer la vision coquette de la personne à la profondeur de son caractère. C'est un amour sacrificiel. C'est un amour purifiant. C'est un amour commandé. Nous devons apprendre aux jeunes femmes à aimer leur mari. C'est la responsabilité des femmes plus âgées, c'est le cœur et l'âme de ce qui permet à une femme de se soumettre. C'est tellement plus facile si vous aimez votre mari.
Deuxièmement, les femmes plus âgées doivent encourager les jeunes femmes à aimer leurs enfants, des philoteknos ; philandros, amoureuse du mari; philoteknos, aimant les enfants. Soyez les amoureux des enfants, réalisez que votre vie, c’est votre mari ; votre vie, c’est vos enfants. En fait, souvenez-vous que 1 Timothée 2 : 15 dit qu'une femme est sauvée par la maternité. C'est une vérité énorme. Sauvé par la maternité. Certaines personnes ont vraiment oublié cela.
En Europe de l'Est, j'ai été étonné pendant un voyage où j'étais en train de prêcher en Roumanie lors d'une conférence de questions-réponses. On m'a posé cette question à propos de ce verset, qu'est-ce que cela signifie ? Et j'ai donné la réponse, interprétant l'Écriture, et j'ai découvert plus tard que ce n'était pas la réponse que tout le monde croyait. Ils croyaient que vous pourriez perdre votre salut et une des façons dont une femme pourrait perdre son salut était en faisant quelque chose pour éviter d'avoir des bébés. En d'autres termes, elle était capable de maintenir son salut en procréant, et ainsi vous deviez continuer à avoir des bébés aussi vite que vous pouviez les avoir pour garder votre salut. C'est une vue théologique plutôt bizarre. Et je vais vous dire une chose, me faire atterrir en Roumanie et leur dire la vérité, leur montrer dans la Parole de Dieu ce que cela signifiait réellement était une chose très difficile à annoncer parce que vous pouvez imaginer une femme me dire. « Quoi ? Tu me raconte que je n'avais pas besoin de ces 15 enfants pour garder mon salut ? Attends que je revoie mon pasteur qui me l'a dit. » Je veux dire, c'est une chose énorme qui secoue les gens. Je ne pense pas qu'aucun d'entre eux va regarder ces merveilleux enfants que Dieu leur avait donnés et souhaiter qu'ils ne soient pas là, mais cela vous amènerait sûrement à vous arrêter et à vous demander s'il n’y aurait pas eu une route plus facile.
Une femme est sauvée du stigmate d'avoir conduit la race humaine dans le péché, comme Eve l'a fait. Une femme est sauvée du stigmate d'être le récipient le plus faible en portant des enfants et en les élevant dans la sobriété, la vertu, la piété, et la droiture. Une femme a conduit le genre humain dans le péché, et pourtant ce sont les femmes qui influencent les enfants. La piété de la mère et la vertu de la mère ont l'impact le plus profond sur la vie de ses enfants. L'éducation des enfants par la justice donne à la mère la dignité, c’est sa grande contribution. La grande contribution d'une femme vient dans la maternité. Évidemment, comme je l'ai noté, Dieu ne veut pas que toutes les femmes aient des enfants, mais toutes celles qui en ont y trouvent leur épanouissement.
Troisièmement, chez Tite, elles doivent aimer leur mari, aimer leurs enfants, être raisonnables, penser correctement. C'est triste quand nous pensons au monde dans lequel nous vivons aujourd'hui et à la façon dont les femmes ne pensent pas correctement, les priorités sont toutes entachées. Elles ont perdu la capacité de faire de bons jugements. Elles ont perdu le bon sens. Quelque chose de très basique : apprenez-leur à être raisonnable. Enseignez-leur le bon sens. Enseignez-leur la sagesse pratique, la discrétion, un bon jugement. C'est si important. Vous savez, quelle bénédiction d’avoir une femme qui a traversé la vie et qui est là pour vous enseigner le bon sens pour vous aider à traverser les difficultés de la vie.
Quatrièmement : apprenez-leur à être pur, hagnos, ce qui signifie chaste, vertueuse, sexuellement fidèle à son mari dans tous les sens. 1 Pierre, rappelez-vous, dit que les femmes doivent être préoccupées par qui elles sont réellement, non pas à quoi elles ressemblent. 1 Timothée 2 : 9 et 10 dit qu'elles doivent être vêtues, quand elles se réunissent, modestement et discrètement, avec une crainte et une sobriété pieuses. Et la pudeur entraîne un sentiment de honte, une rougeur saine. Les femmes de notre culture pourraient supporter une forte dose de rougissement. Tant de femmes n'ont aujourd'hui d'autre pensée que d'inciter à la convoitise ou de distraire quelqu'un de la pure pensée à ce qui est impur. Les femmes doivent être pures ; elles doivent s'assurer qu'elles paraissent d'une manière qui attire l'attention sur leur vertu et leur piété et non sur elles-mêmes. Elles doivent être modestes et discrètes, démontrant leur peur divine. Il dit qu'elles doivent être pures, et c'est très, très important. Et cela a l'idée d’aucune tache. Le mot « discret » dans le Nouveau Testament qui est utilisé un certain nombre de fois parlant des femmes, tels que dans 1 Timothée 2 : 9 et 10 et d'autres lieux, vient du même terme, sōphrōn, qui signifie contrôle de soi. Elles doivent faire preuve de maîtrise de soi sur la passion, la sainteté.
Et puis, cinquièmement, et maintenant nous nous attelons à la tâche. Elles doivent travailler à la maison. Nous avons parlé des attitudes d'une femme, de son amour pour son mari, de l'amour pour ses enfants, de la sagesse et de la pureté. Maintenant, nous passons à la question très importante, la sphère de sa responsabilité, le travail à la maison, oikourgos, littéralement un travailleur à la maison. C'est la sphère de la vie d'une femme. C'est son domaine. C'est son royaume. Le mot est un dérivé du mot « maison » et du mot « travail ». Quelqu’un qui travaille à la maison. D'ailleurs, il ne s'agit pas simplement de récurer les planchers et de nettoyer la salle de bain. Il connote simplement l'idée que la maison est la sphère de ses travaux, tels qu'ils soient. Ce n'est pas qu'une femme doit rester occupée tout le temps à la maison. Cela ne veut pas dire qu'elle ne pourra jamais sortir. Cela ne signifie pas qu'elle doit toujours faire des tâches subalternes. Mais ce que cela signifie, c'est que la maison est la sphère de sa mission divine.
Elle est la gardienne de la maison, pour prendre soin de son mari, pour subvenir aux besoins de lui et pour les enfants, tout ce dont ils ont besoin car ils vivent dans cette maison. Matériellement, elle doit prendre les ressources que le mari apporte à la maison et les gérer pour créer une vie confortable et bénie pour ses enfants. Elle doit prendre les choses spirituelles qu'elle connaît et les enseigner, les transmettre à ses enfants. Elle est une gardienne à la maison. La norme de Dieu est que la femme et la mère travaillent à la maison et non à l'extérieur. Pour une mère, obtenir un emploi à l'extérieur de la maison afin d'envoyer ses enfants même à une école chrétienne, c’est mal comprendre le rôle de son mari en tant que fournisseur, ainsi que son propre devoir à la famille. La bonne formation que ses enfants reçoivent à l'école chrétienne peut être contrecarrée par son manque d'engagement total envers les normes bibliques de la maternité. En plus d'avoir moins de temps pour travailler à la maison, enseigner et prendre soin de ses enfants, une femme travaillant à l'extérieur de la maison a souvent un patron à qui elle doit plaire sur la façon dont elle s'habille et beaucoup d'autres choses, compliquant le rôle de son mari et compromettant son propre témoignage. Elle est contrainte de se soumettre à des hommes autres que son propre mari, susceptible de devenir plus indépendante, y compris financièrement en fragmentant l'unité de la famille. Elle court le risque de devenir amoureuse du monde des affaires ou du monde dans lequel elle se trouve et de trouver de moins en moins de satisfaction dans ses responsabilités familiales.
De nombreuses études ont montré que la plupart des enfants qui grandissent dans des foyers où la mère travaille sont moins en sécurité que ceux où la mère est toujours à la maison. Je pense que cela devrait être évident. Sa présence, même lorsque l'enfant est à l'école, est une ancre émotionnelle. Les mères qui travaillent contribuent si souvent à la délinquance et à une foule d'autres problèmes qui entraînent le déclin de la famille. Ce n'est pas que les mères qui restent à la maison soient automatiquement ou catégoriquement plus spirituelles. Beaucoup de mères qui n'ont jamais travaillé à l'extérieur font très peu de choses à la maison pour renforcer leur famille : des commérages, regarder des feuilletons immoraux et une foule d'autres choses qui peuvent être aussi destructives comparées à une mère qui travaille. Mais la seule chance pour une femme de réaliser le plan de Dieu pour son rôle d'épouse et de mère est dans la maison.
Maintenant, quand les enfants grandissent, il y a l’opportunité pour mener des efforts en dehors de la maison. Certes, cette option est viable, si elle n’est pas compromise en tant que femme, si elle ne compromet pas le leadership de son mari, si elle ne se trouve pas dans une situation de tentation, ou dans un environnement où elle va être soumise aux actions et aux paroles des hommes impies. Il se peut que lorsque les enfants grandissent, elle puisse travailler à temps partiel ; elle peut même travailler à plein temps dans un environnement qui lui est salutaire et qui augmente sa piété et la renforce en tant que femme.
Mais la maison est toujours son domaine. Et même les veuves ou les femmes dont les maris les ont quittés ne devraient pas quitter leur domaine et leurs enfants pour travailler à l'extérieur de la maison. Paul a déclaré ceci dans 1 Timothée 5 : 8, « Si quelqu'un ne prend pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu'un infidèle. » Et cela signifie fournir non seulement pour sa famille immédiatement, mais sa famille élargie. S'il y a, par exemple, une veuve ou une femme sans mari à cause d’un divorce dans votre famille, vous devriez prendre soin d'elle avant de la forcer à prendre soin d'elle-même. Si une femme n'a pas de mari, pas de ressources financières, le reste de sa famille ou même ses enfants ou ses petits-enfants doivent prendre soin d'elle. Ils ont cette responsabilité pour pouvoir garder sa responsabilité dans la famille. C'est indiqué dans la première partie du chapitre 5 de 1 Timothée. Mais si elle n'a personne, aucun parent masculin, ce passage de 1 Timothée 5 dit, si elle n'a pas de parents mâles pour soutenir à ses besoins, il pourrait y avoir une sœur ou un parent féminin pour prendre soin d'elle, selon le verset 16. Si elle n'a pas de sœur ou de parent féminin et s’il n'y a personne pour s'occuper d'elle, alors l'église est obligée de le faire, 1 Timothée 5 : 16.
La prémisse de base est donc que même une femme sans mari, même une femme qui n'a pas d'enfants a encore le droit d'être soignée. Je ne devrais pas dire ne pas avoir d'enfants, mais dont les enfants sont plus âgés, elle a toujours le droit de faire partie de la maison. Alors que Jésus était suspendu à la croix, durant les derniers moments de sa vie, Il était préoccupé par sa mère. Et ce qu'il a fait dans Jean 19 versets 26 et 27, c'est de la confier à Jean. Pourquoi ? Elle était probablement veuve. Joseph était sans doute mort avant cela. Jésus n'était plus là pour prendre soin d'elle. Ses propres demi-frères ne croyaient pas en lui. Il confie Sa mère à Jean.
Lorsqu'une femme a manifestement encore des enfants à la maison, sa principale obligation est envers eux. Si elle n'a pas d'enfants ou s’ils sont grands, elle a la responsabilité d'aider à enseigner aux jeunes femmes et de partager les idées et la sagesse qu'elle a acquises de sa propre marche avec le Seigneur. Elle devrait investir son temps quand elle sera plus âgée et que ses enfants sont grands, non pas à travailler dans le monde de préférence, même si parfois cela puisse arriver, mais en s’investissant dans des femmes plus jeunes.
Maintenant, je me rends compte qu’en vous disant cela ce soir, que je vous donne la norme des Écritures. Il y a beaucoup de cas que vous pourriez soulever. Et qu’en est-il de tout cela ? Tout ce que je peux vous dire, c'est ce que dit la Bible. Vous devez utiliser votre propre sagesse. Il peut y avoir une situation où une veuve doit être employée parce que le soin de ses enfants n'est fourni par personne. Et franchement, la plupart des églises ne viennent pas en aide à ce genre de personnes. Je remercie le Seigneur que notre église le fait dans de nombreux cas.
Il peut y avoir une situation où vos enfants sont à l'école et sans aucun compromis pour vos enfants ou pour votre mari, vous pouvez faire un travail à temps partiel. Beaucoup de femmes sont devenues très fructueuses travaillant à partir de leurs propres maisons, tout comme la femme de Proverbes 31.
Mais la norme est très claire dans les Écritures. La sphère de l'influence d'une femme se trouve dans la maison. Les choses évidentes, bien sûr, sont quand les mères vont au travail quand elles ont encore des enfants jeunes, même nourrissons, les bébés, les enfants qui ne sont même pas encore allés à l'école ; elle les abandonne et les confient aux soins de quelqu'un d'autre. Même les églises encouragent parfois cela en créant des centres de jour pour les enfants d'âge scolaire. Souvent, les femmes travaillent parce qu'elles veulent maintenir une certaine norme économique. Le sacrifice des enfants et de la famille pour cette norme économique est une mauvaise décision.
Vous dites : « Qu'en est-il de cette femme qui est très capable, compétente et énergique, qui a une attitude industrieuse, qui est une personne très douée ? Elle peut s'occuper de ses tâches ménagères parce que nous vivons un jour où il y a tellement de grands appareils et que vous n'êtes pas là-bas sur un rocher en train de battre vos vêtements sales. Nous avons tout cela, et du temps libre, ne peut-elle pas développer une entreprise ? » Bien sûr, c'est ce que la femme de Proverbes 31 a fait.
Le point focal : elle fournit à son mari des expressions d'amour et de soins. Elle fournit la même chose pour ses enfants. Elle dirige, guide et enseigne ses enfants afin qu'ils puissent devenir des enfants pieux. Elle est à la maison, sécurisée et protégée, gardée de l'influence des hommes pervers et des relations potentiellement mauvaises. Elle héberge des étrangers. Elle lave humblement les pieds des saints. Elle montre l'hospitalité. Elle se consacre à tout bon travail. Et c'est son domaine.
Évidemment, cela est merveilleusement accueilli par un mari pieux, n’est-ce pas ? Cela devient très difficile quand vous n'avez pas de mari fidèle. C'est à ce moment que la famille élargie intervient pour aider. S'il n'y a pas de famille élargie pour aider, à ce moment l'église intervient pour aider à ce que, ayant perdu un père, les enfants ne perdent pas non plus une mère. C'est la responsabilité de l'église.
Vivian Gornick, une auteure féministe, écrit : « Être une femme au foyer est une profession illégitime. Le choix de servir, d'être protégé et planifié pour devenir un fabricant de famille est un choix qui ne devrait pas exister, et le cœur du féminisme radical c’est de changer cela. » Fin de citation. Bien sûr. Quoi que Dieu dise, ils veulent dire le contraire.
Aux temps du Nouveau Testament, comme dans l'Ancien Testament, une femme devait broyer de la farine, faire du pain, cuisiner, soigner et prendre soin des enfants, faire des lits, tisser, garder la maison propre, s’occuper des invités. Et en même temps et avec toute l'énergie et l'engagement, elle devait exprimer son amour à son mari, à ses enfants et à Dieu lui-même. Une mission énorme ! Vous dites : « Pourquoi Dieu veut-Il que les femmes soient si occupées dans le monde ?» Au risque de paraître banal, cela les empêche de pécher. Proverbes 7 : 11 donne une image surprenante d'une prostituée. Il dit ceci d'une prostituée : « Elle était bruyante et rétive; Ses pieds ne restaient point dans sa maison. » Elle ne trouve pas sa maison suffisamment épanouissante. Elle a besoin d'autre chose, et cela l'entraîne dans le péché.
Pour la plupart des femmes de notre société, tout cela est absolument ridicule. Et nous sommes tellement engloutis dans ce genre de pensée à cause de la société qui nous entoure que cela peut même nous sembler un peu étrange, mais c'est la Parole de Dieu. Les femmes pieuses doivent se contenter de la maison, se contenter d'aimer leurs enfants, d'aimer leur mari, de servir leurs familles dans leurs foyers et de servir le Seigneur. L'une des choses les plus merveilleuses que l’église n’ait jamais connues c’est le ministère des femmes. Tous les tests, les études et les enquêtes indiquent qu'environ 60% de la vie de l'église est prise en charge par des femmes. Les églises évangéliques sont peuplées de femmes. Ils disent qu'environ 37% des membres des églises évangéliques sont des hommes. L'église a toujours bénéficié des femmes pieuses qui travaillent à la maison, et quand elles ont le temps, elles servent au nom de l'église. Et comme les femmes abandonnent la maison pour le monde, elles abandonnent aussi l'église.
Maintenant, suivons un passage dans Tite. Les femmes plus âgées apprennent aux jeunes femmes à aimer leurs maris, à aimer leurs enfants, à être sensées, pures, travailleuses à la maison, bienveillantes, - la signification est évidente - gentille, s’occuper des étrangers, aimer celles qui en ont besoin. Et puis ceci : « Être soumises à leur propre mari ». Encore une fois, c'est la même expression que dans Ephésiens 5 : 22, «À leur propre maris, pas à quelqu'un d'autre, pas à d'autres hommes. Etre soumise à son propre mari. Pourquoi ? « Ainsi, afin que la Parole de Dieu ne soit pas déshonorée. » Littéralement, blasphemeo, afin qu'elle ne soit pas blasphémée ou calomniée.
Qu'est-ce qui est en jeu ici ? Ce qui est en jeu, c'est l'honneur de la Parole de Dieu. Si nous disons que nous croyons en la Parole de Dieu, et nous disons que nous voulons vous prêcher l'évangile de la Parole de Dieu, et que la Bible a les réponses, et que Christ est la réponse, et nous nous tenons sur la révélation de Christ dans la Parole de Dieu, mais dans notre vie quotidienne nous désobéissons à la Parole de Dieu, pourquoi devrions-nous croire que c'est aussi important que nous le prétendions ? L'honneur de l'Écriture est en jeu. Même un non croyant peut lire ces versets, et un incroyant est plus susceptible de les voir à leur valeur nominale. Comment pouvez-vous argumenter avec le fait d’« enseigner aux jeunes femmes d’aimer leur mari, d’aimer leurs enfants, d’être des travailleurs à la maison, d’être soumise à son mari ?» Ce n'est pas déroutant. C'est ce que dit la Bible. Et là où il y a désobéissance, il y a une déclaration faite sur l'importance de l'Écriture. Et cela a des résultats dévastateurs.
Maintenant, toute la question ici est évangélique. C'est une épître évangélique. Toute cette épître de Tite est conçue pour enseigner à l'église comment évangéliser les perdus. C'est tout à propos de cela. En fait, au verset 3 du chapitre 1, « Dieu notre Sauveur », verset 4, «Jésus Christ notre Sauveur», chapitre 2 verset 10, «Dieu notre Sauveur», verset 13, «Notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ» ; chapitre 3 verset 4, «Dieu notre Sauveur», verset 6, «Jésus-Christ notre Sauveur. » Chaque mention de Dieu est notre Sauveur ; toute mention du Christ est notre Sauveur, après la première salutation. Il s'agit du travail salvateur de Dieu. Et comment se poursuit le travail salvateur de Dieu ? Il continue au moyen du témoignage des personnes pieuses. Les hommes plus âgés, au verset 2, vivent d'une certaine manière. Les femmes âgées, au verset 3, vivent d'une certaine manière. Les femmes plus jeunes, dans les versets 4 et 5, vivent comme Dieu l'a conçu. Les jeunes hommes, versets 6 et 7 et 8, vivent selon la méthode que Dieu a conçue. Verset 9, les serviteurs vivent comme Dieu l'a conçu ; des maîtres vivent selon la méthode que Dieu a conçue. Et comme l'église vit selon le dessein de Dieu dans l'Ecriture, que se passe-t-il ? L'Évangile sort. Verset 11, « Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. » Cela pose les bases de l'évangile, comment nous vivons dans l'église. La Parole de Dieu est en jeu. L'Évangile est en jeu. Mais au verset 14, « qui s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres. » Pourquoi ? Pour que les Ecritures soient crues. Pour que l'évangile soit accepté.
Au verset 8, il dit : « Nous devons vivre de cette façon pour faire taire les critiques. » Nous sommes au verset 10, « Vivre de cette façon pour orner la doctrine de Dieu notre Sauveur à tous égards.» Notre témoignage est en jeu. Si nous voulons atteindre ce monde, si nous voulons évangéliser ce monde, ce sont les principes, et le rôle de la femme est crucial à cet égard. Vous devez prendre ces principes et les appliquer dans votre propre situation dans la prière et avec soin, mais les principes et les commandements sont simples et clairs. Si cela signifie changer votre style de vie, changez-le pour obéir à la Parole de Dieu. En tant que femme, votre priorité est à Dieu, et cela signifie que vous lui obéissez. Et puis, votre priorité est à votre mari, et cela signifie que vous l'aimez et que vous vous soumettez à lui. Votre priorité est alors à vos enfants ; vous les instruisez, vous les élevez dans la piété et vous leur exprimez votre amour. Ensuite, votre sphère est votre maison qui est votre havre de paix, un lieu d'hospitalité. Et puis, votre ministère dans la vie de l'église. Tout en dehors de ces priorités apporte le déshonneur sur la Parole de Dieu. C'est si simple. Et si nous voulons avoir un impact dans le monde, c'est la façon dont nous devons vivre. Et que Dieu nous aide à faire cela pour Sa gloire. Prions.
Père, nous avons tellement couvert ce soir. Merci pour la fidélité de ces personnes précieuses à prendre en compte tout ce message, à y réfléchir. Il est complexe dans son application, et pourtant il est simple dans sa compréhension. Seigneur, la priorité c’est Toi, l'obéissance à Toi. La priorité c’est le mari, les enfants, la maison. Aidez chacune des femmes dans cette église, chacune des femmes qui entendent ce message à comprendre comment cela fonctionne dans leur vie, comment cela se traduit dans leur vie. Merci, Seigneur, pour ces femmes qui ont été fidèles à cela. Et, Seigneur, je prie pour ces femmes qui ont abandonné leurs priorités et se sont égarées. Puissent-elles savoir que Ta grâce et Ta miséricorde abondent pour elles et qu'elles peuvent revenir à la priorité que Tu as établie. Mène-les sur ce chemin. Pour ces jeunes femmes, Seigneur, qui ne font que viser l'avenir et qui veulent vivre pour Toi, puissent-elles se fixer pour obéir à ces principes et trouver cet homme qui sera une force pour leurs convictions. Pour celles qui sont célibataires, Seigneur, remplis-les. Pour celles qui n'ont pas d'enfants, remplis-les de la manière que Tu as conçue pour elles. Et Seigneur, puissions-nous tous T'obéir, exalter Ta Parole afin que le monde qui nous regarde puisse voir que nous le croyons vraiment. Cela peut changer nos mariages. Cela peut changer et transformer nos familles en havres de joie. Et si cela peut le faire, cela peut transformer nos âmes. Et que notre témoignage ait ce résultat, le salut de ceux qui voient. Nous Te remercions, Seigneur, pour Ton instruction claire et la promesse de l'habilitation de Ton Esprit pour l'accomplir. Et que Tu sois honoré par notre vie alors que nous nous efforçons de te suivre au nom de Christ. Amen.

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