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Retournons dans le chapitre 8 de l’épître aux Romains. Romains chapitre 8. Nous avons étudié en profondeur le ministère du Saint-Esprit dans ce chapitre, et nous sommes profondément enrichis par la compréhension divine de Paul en ce qui concerne l’œuvre de l’Esprit. Ce qui m’a poussé à mettre l’accent sur le Saint-Esprit dans cette série vient du sentiment de mon propre cœur et la pensée qui est juste je pense, qu’un membre de la Trinité est mis de côté dans le culte chrétien, dans les discussions chrétiennes, dans les enseignements chrétiens et dans la vie chrétienne. C’est le membre de la trinité à qui nous devons le plus notre expérience chrétienne. Il n’est autre que le Saint-Esprit.

En général, le culte chrétien d’aujourd’hui est plus attaché au style qu’au contenu. Il s’agit davantage de sentiments que de faits. Il s’agit davantage de soi-même que du Sauveur. Il s’agit plus de thérapie que de théologie. Il s’agit plus de sécularité que du sacré. Il s’agit davantage de bons sentiments que de la gloire de Dieu. En nous efforçant de regarder au très triste état du culte chrétien actuel, nous sommes frappés de ce que nous accordons une certaine attention à Dieu le Père. Nous chantons Ses attributs. Nous donnons une grande attention à Christ en chantant Sa personne et Son œuvre. Mais nous parlons très du Saint-Esprit. Si nous devons adorer Dieu complètement et dans Sa totalité, nous devons adorer le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

De nombreux chrétiens connaissent très peu le ministère du Saint-Esprit. Il y a tant d’erreurs qui circulent sur le Saint-Esprit que les gens évitent de parler de l’Esprit, de peur de contredire la pensée populaire du moment. Mais nous devons adorer Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit pleinement et avec toute la connaissance que nous avons de la révélation de chaque membre de la Trinité. Nous nous sommes donc efforcés de comprendre le merveilleux ministère béni de l’Esprit de Dieu. Nous avons exprimé le fait que le Père a planifié la rédemption, le Fils a pourvu aux moyens de la rédemption par Sa mort et Sa résurrection, et l’Esprit produit l’œuvre de la rédemption en nous. Il est l’agent qui actualise le plan que Dieu a initié et que le Fils a validé ; Il est celui qui le met en action.

Nous devons comprendre le ministère biblique du Saint-Esprit. Les Ecritures nous mettent en garde contre le fait de ne pas attrister l’Esprit, de ne pas éteindre l’Esprit, de ne pas insulter l’Esprit, de ne pas blasphémer contre l’Esprit. Il n’est pas étonnant d’être mis en garde contre ces choses, car elles semblent très courantes. Nous avons essayé de nous reconnecter à des éléments qui sont clairement révélés dans les Ecritures et que nous avons peut-être laissés de côté pendant longtemps en ce qui concerne le Saint-Esprit, et nous avons appris que c’est le Saint-Esprit qui nous régénère. Jean 3 : « Nous sommes nés de l’Esprit. » C’est le Saint-Esprit qui nous convainc de péché, de notre propre justice et de jugement, Jean 16. Le Saint-Esprit participe même à notre justification. I Corinthiens 6:11 dit : « Vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ, et par l’Esprit de notre Dieu. » 2 Corinthiens 3 nous dit que c’est l’Esprit qui nous sanctifie, qui nous fait passer d’un niveau de gloire au suivant en nous rendant semblables à l’image de Christ.

Nous avons appris dans Romains 8 que c’est l’Esprit qui confirme notre adoption en tant que Fils de Dieu. L’Esprit réside en nous. L’Esprit nous donne Son assurance en rendant témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. 1 Corinthiens 12 dit que l’Esprit nous baptise dans le Corps du Christ par lequel nous devenons membres avec tous les autres croyants. Dans ce même chapitre, il est dit que l’Esprit nous donne des dons spirituels par lesquels nous servons Christ et exerçons un ministère envers Son corps. C’est le Saint-Esprit qui nous assiste dans nos prières. Dans Jude 1:20, il est parlé de prier dans l’Esprit. C’est l’Esprit qui nous affermit dans notre être intérieur, Ephésiens 3:16. C’est l’Esprit qui nous guide, tous ceux qui possèdent le Saint-Esprit sont guidés par l’Esprit, nous avons vu cela dans Romains 8. C’est l’Esprit qui produit des fruits en nous, les fruits de l’attitude d’amour, de joie, de paix, de douceur, de bonté, de foi, d’humilité, de contrôle de soi et tous genres d’actes justes aussi. C’est l’Esprit qui nous délivre du péché, qui nous permet d’être obéissants à Dieu. C’est l’Esprit qui illumine la Parole et qui réside en nous en tant qu’enseignant de la vérité.

De plus, le point déterminant de ces choses est que le Saint-Esprit sécurise notre gloire éternelle. C’est l’Esprit qui assure notre gloire éternelle, et ce grand ministère du Saint-Esprit est le thème que j’ai évoqué lorsque j’ai lu les Ecritures, Romains 8:18 à 39. Tout ce passage se concentre sur cette réalité glorieuse que le salut est pour toujours, que le salut est pour toujours. Que nous sommes protégés par la puissance de Dieu en vue de cette glorification finale et cet héritage préparé pour nous et qui reste le même, pur et réservé au ciel. L’Esprit assure notre gloire éternelle. Dans les Ecritures, Il scelle le jour de notre rédemption. Il est la garantie, le premier acompte, le paiement initial, la bague de fiançailles, les premiers fruits. Il est la puissance de Dieu. Il est le protecteur de chaque croyant jusqu’à ce qu’un jour Il soit celui qui nous élève vers la gloire éternelle, comme Il a élevé Christ de la mort.

Tout ceci nous mène bien sûr à adorer le Saint-Esprit. C’est la véritable doctrine du Saint-Esprit qui surpasse toutes les fausses interprétations et les blasphèmes prononcés contre le Saint-Esprit qui sont si communs et populaires aujourd’hui.

Paul a passé en revue tous ces versets. Pour commencer, il mentionne la glorification dans le verset 17, puis du verset 18 au verset 30, il nous donne ce grand argument glorieux qui justifie l’éternité de notre salut. C’est le fait que si vous être sauvé, c’est pour toujours. C’est pour toujours. Le point culminant de cet argument vient au verset 30, qui dit que quiconque est prédestiné par Dieu à être semblable à Son Fils, Il l’appelle en Son temps d’un appel efficace pour le salut. Quiconque Il appelle, Il le justifie, et quiconque Il justifie, Il le glorifie afin que les personnes qui sont glorifiées soient les personnes qui étaient prédestinées. Personne ne se perd en route. C’est ce que Paul nous présente. C’est le dessein de Dieu. C’est l’œuvre du Saint-Esprit. Paul nous dit donc que toutes choses dans notre vie, quelles qu’elles soient, Dieu les fait concourir à notre bien éternel et notre gloire, car nous sommes les appelés selon ce dessein et nous entrons dans une relation d’amour avec Lui.

J’ai enseigné cette doctrine toute ma vie. Je l’enseigne avec passion, car elle est si claire dans les Ecritures, et pourtant durant toute ma vie et mon ministère, j’ai dû débattre de cela avec des personnes qui rejettent l’idée que le salut reste pour toujours. J’étais dans une ancienne base militaire en Biélorussie, à l’extérieur de la ville de Minsk où les soldats communistes étaient postés à l’époque du grand empire russe. Elle a été transformée en un genre de camp et j’y suis allé avec des pasteurs. Je donnais un message et j’ai fait référence au fait que le salut est éternel. Une fois qu’on est régénéré, c’est pour toujours, et on peut ancrer son âme dans la confiance de l’espérance de la gloire éternelle. Après cela, ce sont tous les pasteurs qui étaient présents, des pasteurs biélorusses et russes qui sont venus vers moi en me disant : « Nous pensons que c’est faux. » Et j’ai dit : « Hé bien vous devez me donner du temps demain matin pour répondre à toutes vos objections. »

Alors je me suis levé le matin suivant, je suis allé prendre un petit bol de quelque chose, je ne sais pas ce que c’était, pour le petit déjeuner, et je suis allé à la réunion. Ils se frottaient les yeux. Ils étaient restés debout toute la nuit. Ils sont restés éveillés toute la nuit pour rassembler toutes les raisons selon lesquelles j’avais tort. Alors j’ai commencé à répondre à chaque point l’un après l’autre. Je comprends. Je ne voulais pas entrer en conflit avec eux. Je voulais qu’ils apprécient leur salut. Je voulais qu’ils sortent de la crainte de le perdre. Je voulais qu’ils se réjouissent dans l’espérance de cette sécurité. C’est un cadeau que j’essayais de leur donner, et ils continuaient à le repousser. J’ai dû leur donner encore et encore et passer en revue chaque objection et chaque argument pendant cette longue journée. Je comprends cela. Paul comprenait cela.

A la fin du verset 30, Paul anticipe les objections. Il sait que quelque part, il y a un groupe de personnes qui sont restées éveillées toute la nuit et qui ont fait une liste d’objections. Il les connait, car il y a seulement certains points sur lesquels on peut discuter. Paul sait ceci : Il y a seulement deux possibilités, soit quelqu’un ou une circonstance peut vous faire perdre votre salut. C’est tout. Tout est là. Ce sont les deux catégories possibles. Et donc la question est : est-ce qu’une personne peut vous faire perdre votre salut malgré l’œuvre du Saint-Esprit, malgré le don de Christ, et malgré le dessein de Dieu ? Si ne n’est pas une personne, est-ce que cela peut être causé par certaines circonstances ? Peuvent-elles nous submerger à ce point, être assez puissantes pour mettre notre salut en péril ? Cela devient le sujet des versets 31 à 39.

La première partie, des versets 31 à 34, répond à la question : Une personne peut-elle nous faire perdre notre salut ? Des versets 35 à 37, une circonstance peut-elle nous faire perdre notre salut ? Puis il y a une glorieuse conclusion à la fin du chapitre.

Paul présente la situation. Nous allons simplement prendre le premier point à propos des personnes. Il présente ceci dans le verset 31 : « Que dirons-nous donc à l’égard de ces choses? » Que dirons-nous donc à l’égard de ces choses? Quelles choses ? Les choses concernant le salut éternel. Le sujet dont il est question depuis le verset 18 concerne le salut éternel, que Dieu nous assure dans Son dessein. Le Saint-Esprit intercède pour nous, Dieu fait concourir toutes choses pour notre bien éternel. Si nous avons été connus d’avance et prédestinés à devenir semblables à l’image de Jésus-Christ, nous y arriverons et aucun de nous ne se perdra en route. Tous ceux qui sont appelés sont justifiés et glorifiés. Toutes ces choses qui sont liées au salut éternel ne peuvent être perdues. Que dirons-nous donc à l’égard de ces choses ? Quelle est notre réponse ? C’est la question. Quelle est la conclusion que vous voulez tirer ?

Paul sait qu’il va y avoir des personnes qui vont protester. Ils vont dire que le salut peut être perdu. C’est une merveilleuse chose, mais il peut être perdu parce que certaines personnes ou certaines circonstances peuvent nous faire abandonner ou permettre qu’il nous soit retiré, qu’il soit perdu. Alors Paul dit ‘d’accord voyons qui sont ces personnes’. Y a-t-il un ou des êtres humains qui peuvent prendre notre salut ? Qui peuvent avoir du pouvoir sur nous ? Une telle influence sur nous qu’ils peuvent enlever ce que Dieu nous a donné ? Ceci est compris dans la question de la fin du verset 31 : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? » « Qui » fait référence à des personnes, des gens. Y a-t-il une personne qui puisse vous retirer votre salut ? Vous vous demandez qui pourrait bien vouloir cela ? Beaucoup de gens qui sont offensés par votre christianisme. Peut-être votre conjoint. Peut-être vos enfants voudraient que vous ne soyez pas sauvé et seraient prêts à tout pour vous faire décrocher de cette passion. Les membres de votre famille qui ne sont pas sauvés.

Dans Matthieu 10, Jésus dit qu’Il est venu afin d’apporter l’épée et la division dans la famille à cause de la haine du père, de la mère, de la sœur ou du frère. Et les éducateurs séculiers ? Vous envoyez votre enfant à l’université. Pensez-vous que leur rôle est d’affirmer la foi de ceux à qui ils enseignent ? Je ne pense pas. Je pense qu’ils sont prêts à tout pour la détruire. Qu’en est-il de l’endoctrinement immoral collectif de notre société ? Pensez-vous que le but de la culture et de la société dans laquelle nous vivons est de stabiliser vos convictions en Jésus-Christ, ou de les détruire ? Pensez-vous qu’ils veulent confirmer votre foi en la Bible, votre vision de la création, notre vision de la fin des temps ? Votre vision de l’éternité, du ciel et de l’enfer ? Ou bien veulent-ils détruire cela ? Veulent-ils vous séparer de cela ? Veulent-ils semer le doute dans votre esprit ?

Toute la culture est contre vous. Il y a toutes sortes de gens, parce qu’ils agissent dans le royaume des ténèbres, qui feraient n’importe quoi pour vous séparer de votre foi et de votre salut. Les faux religieux le feraient aussi. Les dirigeants de sectes le feraient. Les faux docteurs le feraient. Il y a plein de gens qui le feraient et un grand nombre d’entre eux ont de l’influence et de la puissance, de l’impact et une certaine sophistication. Paul dit : « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? »

Que veut-il dire par là ? Cette phrase est au conditionnel en grec et commence par la particule ei, qui se prononce ā, mais s’écrit E-I. Il s’agit d’une proposition conditionnelle qui devrait être traduite par « puisque », car il ne s’agit pas d’une probabilité, il s’agit d’un fait. Une réalité factuelle sous la forme d’une proposition conditionnelle qui devrait se lire ainsi : « Puisque Dieu est pour nous, qui réussira à être contre nous ? » C’est un argument simple, n’est-ce pas ? Quelqu’un est-il plus puissant que Dieu ? Dieu a prédéterminé notre destinée éternelle en nous rendant semblables à l’image de Son Fils, afin que Son Fils soit prééminent parmi de nombreux frères. Dieu a prédéterminé la fin dès le commencement. Dieu nous a appelés, justifiés, il a promis de nous glorifier, c’est Son dessein. Son Fils intercède pour nous à cette fin, ainsi que le Saint-Esprit. Nous avons parlé de ces deux intercesseurs.

Nous savons ce que Dieu veut, n’est-ce pas ? Nous connaissons le plan de Dieu et le dessein de Dieu est de nous amener tous à la gloire et de ne perdre aucun d’entre nous et de nous donner la vie éternelle. Ainsi nous ne périrons jamais. Jésus dit : « Personne ne les retirera de la main de mon Père. » Il s’agit de la promesse de Dieu, c’est l’engagement de Dieu. Puisque Dieu est pour nous, quelle personne pourrait être plus puissante ? Dans l’Eglise, Paul a averti de ce que nous pouvons appartenir à une église, nous pouvons appartenir à une organisation religieuse qui se proclame chrétienne et il dit la chose suivante : «  Cet endroit peut être dangereux. Après mon départ, des loups sauvages viendront parmi vous, et n’épargneront pas le troupeau, et parmi vous, des hommes se lèveront, des hommes se lèveront en disant des choses perverses. » Dans quel but ? « Afin de détourner les disciples vers eux. » Certaines personnes qui sont dans les églises ont une apparence religieuse qui leur permet de se mettre derrière un pupitre et d’enseigner dans des séminaires qui veulent ébranler vos convictions, votre foi. Ils veulent voler votre salut. Mais si Dieu est pour vous, sont-ils plus puissants que Dieu ?

Vous savez, cela me fait penser à l’Ancien Testament. Les croyants de l’Ancien Testament savaient que Dieu était leur sécurité. J’aime les paroles du Psaume 27. David dit : « L’Eternel est ma lumière et mon salut. De qui aurais-je crainte? » N’est-ce pas ? Si l’Eternel est mon salut, de qui aurais-je peur ? « L’Eternel est le soutien de ma vie: De qui aurais-je peur? Quand des méchants s’avancent contre moi, pour dévorer ma chair, ce sont mes persécuteurs et mes ennemis qui chancèlent et tombent. Si une armée se campait contre moi, mon cœur n’aurait aucune crainte; Si une guerre s’élevait contre moi, je serais malgré cela plein de confiance. » En quoi ai-je confiance ? « Je demande à l’Eternel une chose, que je désire ardemment: Je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Eternel, pour contempler la magnificence de l’Eternel et pour admirer son temple. » Je demande simplement d’être avec Lui pour toujours. « Car il me protégera dans Son tabernacle au jour du malheur, Il me cachera sous l’abri de sa tente; Il m’élèvera sur un rocher. Et déjà ma tête s’élève sur mes ennemis qui m’entourent; J’offrirai des sacrifices dans sa tente, au son de la trompette; je chanterai, je célébrerai l’Eternel. »

Peu importe qui se dresse contre nous. Dieu est pour nous. Dieu est pour nous. « Ne crains point. » Genèse 15 :1 : « Je suis ton bouclier. » Dit Dieu. « L’Eternel est avec nous, » Nombres 14:9 : « ne les craignez point! » C’est vraiment le revers de la pièce du verset 28. Dieu agit de façon positive afin que toutes choses concourent à notre bien éternel, c’est le côté face. Le côté pile est que personne ne peut défaire cela. Si Dieu fait que toutes choses concourent à notre bien, alors personne ne peut faire que les choses concourent à notre mal. Personne ne peut enlever notre statut de délivré de la condamnation indiqué dans le chapitre 8 au verset 1. Il n’y a donc aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Personne, aucune personne, aucun être humain ; nous parlons d’êtres humains, c’est notre premier point. Aucun être humain ne peut faire cela, car Dieu est plus grand que tout être humain. L’objection des humains tombe grâce à la simple affirmation de la fin du verset 31 : « Si Dieu est pour nous, » ou puisqu’Il est pour nous, « qui réussira à être contre nous ? »

Mais qu’en est-il de la seconde possibilité ? Dieu Lui-même. Est-ce que Dieu peut reprendre notre salut ? Le Seigneur donne, le Seigneur reprend, béni soit le nom du Seigneur. Peut-Il reprendre notre salut ? Peut-Il changer d’avis ? Peut-Il être à ce point déçu de nous ? Pouvons-nous poursuivre dans le péché au point qu’Il reprenne ce qu’Il nous a donné ? Il nous voit pécher et il voit notre désobéissance et Il peut nous enlever la vie qu’Il nous a donnée ? Est-ce qu’Il veut nous tuer ? Parce qu’Il nous a donné la vie. Il nous a régénérés. Nous sommes nés de nouveau, Il nous a donné une vie nouvelle. Est-ce qu’Il veut nous tuer, et nous serions à nouveau morts ? Est-ce que le fait que nous restions sauvés est trop difficile ?

Paul répond à cela dans le verset 32. « Lui qui n’a point épargné Son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-Il pas aussi toutes choses avec Lui? » Laissez-moi vous dire que ce verset est très simple. Je sais qu’en le lisant, il semble un peu troublant, car on ne le comprend pas tout de suite, mais c’est un verset très simple. C’est l’argument classique des Juifs du plus qui justifie le moindre. C’est un argument simple. Il n’a pas épargné Son propre Fils mais Il L’a livré pour nous tous. Ne croyez-vous pas que s’Il a donné Son Fils afin de nous sauver, Il donnera de moindres choses pour nous garder ? C’est l’argument dont il s’agit. L’argument du plus qui justifie le moindre. L’amour de Dieu est si fort pour ceux qu’Il a choisi de racheter, qu’Il donne Son propre Fils, le meilleur, le plus grand, le plus pur, le plus divin, le plus grand prix, le coût le plus élevé, Son propre Fils bien-aimé afin de nous sauver. Ne pensez-vous pas qu’Il ferait de moindres choses pour nous garder ?

Voyons les choses d’une autre façon, tournez les pages pour lire Romains 5. Lorsque nous avons été sauvés, nous l’avons été simplement par grâce. Nous n’avons rien fait pour mériter cela. Romains 5:6 : Nous étions sans force et impies. Alors Dieu a donné Son Fils, Christ, afin qu’Il meure pour ceux qui sont sans force et pour les impies, et nous pouvons dire pour ceux qui sont morts spirituellement, ceux qui sont aveugles et ignorants et pour les méchants. Vous savez, les hommes ne font pas de telles choses. Verset 7 : « A peine mourrait-on pour un juste; quelqu’un peut-être mourrait pour un homme de bien. » De temps en temps on peut voir une personne qui donne sa vie pour quelqu’un qui est une bonne personne mais c’est assez rare. Mais si quelqu’un veut donner sa vie, c’est une rare réalité, la personne pour laquelle elle va donner sa vie sera une bonne personne, n’est-ce pas ? Quelqu’un pour qui il a une grande admiration, du respect, de l’amour. Il ne va pas donner sa vie pour une mauvaise personne, pour un criminel, pour un ennemi.

« Mais Dieu, » dans le verset 8, « prouve Son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » Nous étions pécheurs. Misérables, perdus, aveugles, morts, impies, sans force et Il a donné Son Fils afin qu’Il meure pour nous. « A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par Son sang, » Son sacrifice, « serons-nous sauvés, » ou nous sauvera-t-Il, nous gardera-t-Il sauvés « par Lui de la colère. » Vous voyez, si Dieu a donné Son Fils à la mort afin de rendre notre justification possible, ne pensez-vous pas que la vie du Fils de Dieu assurera notre glorification ? C’est toute la question.

Verset 10 : « Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de Son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par Sa vie. » Nous avons été littéralement rachetés au prix le plus infiniment élevé, la mort de Christ, et nous serons gardés par le Christ vivant qui intercède pour nous. Même Christ a donné le plus grand cadeau qui soit afin de nous sauver et un cadeau moindre pour nous garder. Il est mort pour nous sauver. Il vit pour nous garder. Si le Père nous a donné Son Fils pour nous sauver alors que nous étions impies ; Il a donné Son Fils par la mort afin de nous sauver, ne nous donnera-t-Il pas Son Esprit vivant pour nous donner la sécurité ? C’est un concept simple, Dieu a fait le plus grand pas pour nous justifier alors que nous étions indignes, impies, misérables. Maintenant que nous Lui appartenons, et que nous avons été transformés et transformés en nouvelles créatures, et que nous avons une impatience juste et une sainte affection pour Lui, est-ce qu’Il ne fera pas le nécessaire afin de nous garder, qui est une moindre chose comparée au fait de donner Son Fils en sacrifice dans l’horreur de la croix ?

De retour dans Romains 8, plusieurs éléments de ce verset sont merveilleusement profonds. Verset 32 : « Lui qui n’a point épargné Son propre Fils, » Il ne L’a pas retenu. En fait, Esaïe 53:10 dit : « Mais il plut à l’Eternel de Le meurtrir; Il L’a soumis à la souffrance. » (DRB) Il n’a pas épargné Son Fils. J’aime cela : « Son propre Fils, » idios en grec. Son propre, sa possession privée, le Fils qui Lui appartient, le Fils de Son propre amour, Dieu était prêt à faire cela pour nous. S’il a voulu donner le plus grand cadeau possible pour nous sauver, Il fera tout ce qui est moindre que cela pour nous garder.

Voyons le langage qui est utilisé : « Celui… qui L’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-Il pas don aussi, librement, de toutes choses avec Lui? » (DRB) Puisqu’Il L’a « livré », c’est un terme très concret. Livrer quelqu’un c’est le remettre à l’exécuteur, terme technique. Puisque le Père a livré le Fils à la destruction, à la damnation et au châtiment que requiert le péché, le reste du verset dit : « Comment ne nous fera-t-Il pas don aussi, librement, de toutes choses avec Lui? » Tout ce dont nous avons besoin pour nous sentir en sécurité.

Qui a livré Jésus à la mort ? Ce n’était pas Juda pour de l’argent. Ce n’était pas Pilate sous la crainte. Ce n’était pas les Juifs par jalousie. C’était le Père par amour pour nous tous. Pour nous tous, « nous tous », verset 32. Ce « nous tous » est le « nous » du verset 31. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » Ces « nous » sont les « ceux » du verset 30. Ceux qu’Il a prédestinés, appelés, justifiés, ceux qu’Il a aussi glorifiés. Quiconque est dans le plan, il a été pourvu à ses besoins, et Dieu ajoutera à cette provision du don de Son Fils toutes autres choses qui sont nécessaires afin de les amener à la gloire. J’aime le fait qu’il est dit (dans la version Darby) qu’il nous « fera don… librement de toutes choses ». La grâce continue, n’est-ce pas ? Cela continue à être de la grâce, nous ne gagnons rien, nous ne méritons rien, mais nous recevons.

On peut se dire : Si personne ne peut nous retirer notre salut, si Dieu Lui-même ne peut reprendre notre salut parce qu’Il s’est déjà engagé en nous donnant le plus grand des cadeau et des moindres cadeaux plus faciles à donner après cela, peut-être ya t-il une autre personne. Qu’en est-il de Satan ? Peut-être que Satan peut le faire. Satan aimerait le faire. Il voulait anéantir la foi de Job, n’est-ce pas ? Il voulait détruire la foi de Pierre. Jésus dit : Pierre, attention, car Satan désire « vous cribler comme le froment. » Il s’est placé devant Dieu dans le livre de Job et il a donné une seule raison. Il a dit à Dieu «  la seule raison pour laquelle Job est fidèle envers toi est que Tu l’as béni. Retire sa bénédiction et il Te maudira. J’anéantirai sa foi. »

Dieu a libéré Satan en disant « vas-y, fais ce que tu veux, tout sauf prendre sa vie. » et Satan agit. Tous ces animaux furent tués, tous ses enfants furent tués, et même Job est tombé malade, puis il a eu une poignée de stupides conseillers qui lui ont dit toutes sortes de choses qui n’étaient pas vraies, et il a été isolé dans la souffrance et la confusion parce que la conversation entre Dieu et Satan ne lui était pas connue. Il n’avait aucune idée pendant que cela arrivait, quelle en était la cause, quel en était le motif, quelle en était la raison. Mais au milieu de tout cela, Satan pouvait-il lui enlever sa foi alors que Satan avait tué sa famille et l’avait laissé seul avec une épouse qui disait des choses qu’elle n’aurait pas dû dire et qui n’était d’aucune aide ? Lorsque Satan a enlevé tout ce que Job possédait, lorsqu’il l’a rendu si malade et couvert de furoncles et de plaies qu’il nettoyait avec un morceau de poterie ? C’est probablement le genre d’extrémité qui vous ferait dire « si je dois perdre cette foi, je vais la perdre maintenant. »

C’est essentiellement Satan qui était le tourmenteur pendant tout ce temps. Et au milieu de tout cela, que dit Job ? « Quand même il me tuerait, je ne cesserais d’espérer en Lui. » Cette foi ne peut être anéantie, car Dieu la soutient au milieu de tout cela. Satan ne peut pas faire cela. Satan est l’accusateur des frères, n’est-ce pas ? Apoclaypse 12. Il est l’accusateur des frères le jour et la nuit, avant d’arriver devant le trône de Dieu, il accuse les frères. Il l’a fait à Job. Il n’a fait au grand prêtre dans Zacharie chapitre 3. Il va voir Jésus à propos de Pierre. Il poursuit Paul dans 2 Corinthiens 12 avec un messager de Satan qui est comme une écharde dans sa chair. Satan est l’accusateur des frères. Il est celui qui tourmente. Avec cet arrière-plan, nous arrivons au verset 33 : « Qui accusera les élus de Dieu? » Celui qui essaie sans cesse de faire cela est Satan. Au début du verset 34. « Qui les condamnera? » Celui qui fait cela est Satan.

Ces deux questions sont en fait les mêmes. L’une voulant porter une accusation qui résulterait en une condamnation. Aller vers Dieu et dire : « Ne laisse pas cette personne s’en tirer comme ça, laisse-moi la tourmenter, et je détruirai sa foi. Il n’est pas une personne digne. Il te sert seulement parce que tout va bien. Si nous lui rendons la vie assez difficile, il Te maudira. Je vais Te montrer qui il est vraiment. »

C’est ainsi que Satan agit, je pense, tout le temps. Il est jour et nuit devant le trône de Dieu, portant des accusations contre les saints. Peut-il réussir ? La réponse vient dans le verset 33 : « C’est Dieu qui justifie! » Littéralement : « C’est Dieu qui est en train de nous justifier. » Dieu seul condamne et Dieu seul déclare qui est juste. Si Dieu déclare que nous sommes justes en Christ, Il ne peut pas en même temps déclarer que nous sommes coupables, n’est-ce pas ? Il n’y a pas de juge plus haut placé. Les croyants sont sans cesse sous accusation. Je pense que cela se passe au ciel continuellement. Satan est toujours en train d’essayer de mettre en cause notre salut, malgré l’amour de Dieu, malgré le fait que Dieu nous déclare juste. Mais Dieu a déjà rendu son verdict final, et le verdict final, fondé sur son propre dessein souverain, l’œuvre régénératrice du Saint-Esprit, la provision de Christ par Sa mort et Sa résurrection, activé par notre foi, est que nous avons été déclarés justes. Nous avons été déclarés justes et tout est réglé.

Il n’y a pas de cour plus élevée, c’est tout. Il n’y a pas de cour d’appel plus élevée que Dieu. Dieu est le seul juge. Dieu est la seule cour dans tout l’univers quand il s’agit du péché, du jugement et de la justification. Il n’y a pas d’autre cour. C’est Dieu qui justifie Son peuple, et aucune accusation de Satan ne tient contre Lui. Aucun effort de Satan pour apporter la destruction dans leur vie ne tient.

Dieu n’empêche pas toujours cela. Je sais que nous entendons les prédicateurs de la prospérité dire que Jésus veut que nous soyons en bonne santé, heureux, et comblés en toutes choses, mais ce n’était pas le cas pour Job. Ce n’était pas le cas pour Pierre. Pierre a été criblé comme du blé ce soir-là, n’est-ce pas ? Près du feu du jugement de Jésus, il a renié Jésus encore et encore. Paul avait une écharde dans sa chair et une immense souffrance. Satan, avec tout ce qu’il pouvait faire dans la vie de ces hommes et dans la vie d’autres croyants que Dieu lui permettait de poursuivre pour l’accomplissement de ses propres desseins, tout ce qu’il peut faire ne peut changer le fait que nous nous tenons debout face à Dieu et que Dieu nous a rendus justes. C’est pourquoi Charles Wesley a dit : « Brave je me tiendrai en ce grand jour, car qui m’accusera, je suis pleinement absout du péché et de la crainte, de la culpabilité et de la honte. »

Remarquez dans le verset 33 que cela vient du fait que nous sommes les élus de Dieu. Qui accusera les élus de Dieu, ceux qui étaient connus d’avance, prédestinés ? Dieu a déjà déterminé leur justification. Lorsque Satan essaie de nous faire venir devant la barre de Dieu, nous n’y venons pas comme des hors la loi, nous n’y venons pas comme des criminels. Nous y venons en tant qu’élus de Dieu, déjà déclarés justes.

Il reste seulement une personne possible en dehors de nous qui puisse nous laisser partir, nous abandonner, et ce serait Christ. Qu’en est-il de Christ ? Pourrait-Il nous abandonner ? Il nous a fait entrer, pourrait-il nous rejeter ? Verset 34, Christ Jésus, va-t-Il nous condamner ? Il est mort, Il est ressuscité, Il se tient à la droite de Dieu, et Il intercède pour nous. Il ne va pas être celui-ci, car il y a une vérité en quatre volets ici, une protection en quatre volets. Christ est celui qui est mort, c’est le point le plus évident. Lorsqu’Il est mort, Il a reçu la totalité du châtiment qui nous était destiné pour tous nos péchés. C’est pourquoi Il est mort. Il était sans péché. Il n’y avait pas de culpabilité en Lui. Il est mort à notre place, prenant sur Lui notre châtiment. Il ne va pas nous condamner alors qu’Il a pris sur Lui notre condamnation.

Deuxièmement, non seulement Il est mort, mais Il est ressuscité. Autrement dit, Son expiation était propice, elle a satisfait Dieu et Dieu a validé Son œuvre sur la croix en Le ressuscitant de la mort. Sa résurrection est l’affirmation de l’accomplissement de Son expiation sur la croix. La mort de Christ a payé la totalité de notre peine pour tous les péchés de tous les gens qui croiront un jour dans toute l’histoire de l’humanité. Pour indiquer cela, Dieu L’a ressuscité de la mort.

Et ce n’est pas tout. Il y a un troisième élément. Christ a payé pour la totalité de nos péchés, le Père a validé que ce paiement était complet en Le ressuscitant de la mort. Troisièmement, Il se trouve même à la droite de Dieu, comme le Psaume 110:1 le dit ; « Parole de l’Eternel à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite. » Dieu l’a élevé au plus haut grâce à Son œuvre sur la croix. Il Lui a donné le nom au-dessus de tous les noms, Il L’a assis à Sa droite, et tout genou fléchira devant Lui. Il a été élevé à la droite du trône de Dieu parce qu’Il a pleinement accompli notre salut éternel.

Si nous mettons toutes ces choses ensemble, l’œuvre complète de Christ sur la croix, par la résurrection, Son élévation et Son ascension, tout cela indique que notre salut a été racheté en totalité et que Dieu est pleinement satisfait. Et comme si ce n’était pas suffisant, à la fin du verset 34 : « Il a aussi intercédé pour nous. » Il a aussi intercédé pour nous. C’est le point le plus important. Il a continué à intercéder. Il a continué, encore à intercéder. L’épître aux Hébreux nous dit qu’Il est notre « souverain sacrificateur », n’est-ce pas ? Qu’il vit à jamais pour intercéder pour nous. Il se tient devant le trône même de Dieu à la droite de Dieu et Il intercède pour nous. Pour toute accusation qui vient contre nous, Il devient l’avocat de notre défense qui dit « payé en totalité par moi personnellement. » Il est notre souverain sacrificateur pour toujours, Hébreux 6 dit qu’  « Il a été fait Souverain Sacrificateur pour toujours », une ancre pour notre espérance, sûre et constante derrière le voile.

Des personnes qui pourraient retirer notre salut ? Aucun être humain, pas Dieu, pas Satan, pas Christ. Une seule possibilité reste. Qu’en est-il de nous-mêmes ? Vous vous dites peut-être que vous connaissez des gens comme ça. Je ne mettrais pas la faute sur Dieu. Je n’accuserais pas non plus Satan. Ils étaient dans l’église, ils croyaient, ils chantaient les cantiques, ils venaient aux études bibliques, ils disaient qu’ils croyaient et ils sont partis et ils ont renié Christ et ils sont partis. Ils ont perdu leur salut. » Est-ce vraiment le cas ? Est-ce que c’est ce qui s’est passé ? Ils me paraissaient sauvés. Certains font partie de votre famille. Certains sont des proches, peut-être vos enfants. Vous demandez-vous ce qui s’est passé ? Qu’en est-il de ceux qui étaient croyants et qui semblaient croire et qui sont partis ?

1 Jean 2:19 nous donne la réponse. 1 Jean 2:19. Nous connaissons tous de telles personnes. J’en ai connu toute ma vie. Beaucoup de cette église. Ont-ils perdu leur salut ? L’ont-ils simplement abandonné eux-mêmes ? Ecoutez 1 Jean 2 :19. « Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres; car s’ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous, mais cela est arrivé afin qu’il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres. » Jamais réels. De l’ivraie parmi le blé. Un sol rocailleux. Un peu de vie commence à apparaître, pas de fruit, et ils se dessèchent et meurent. Un sol plein de mauvaise herbe, étouffé par l’amour du monde et les richesses et les préoccupations de cette vie. Nous connaissons tous de telles personnes. Mais elles sont sorties du milieu de nous parce qu’elles n’ont jamais été des nôtres.

Mais ceux d’entre nous qui sont de réels et véritables croyants et nous en avons le témoignage de l’Esprit dans notre cœur, nous avons vu Son fruit dans notre vie, notre amour pour le Seigneur, notre amour pour la vérité, notre amour pour la Parole, notre amour pour les autres croyants, toutes ces choses, notre amour pour les choses qui sont saintes, pures et bonnes, notre salut est assuré pour toujours. C’est le point culminant du ministère du Saint-Esprit. Si nous ne croyons pas cela, alors c’est une insulte à l’Esprit. C’est une insulte à l’Esprit qui fait une œuvre dans la vie d’un véritable croyant que ce véritable croyant nie et rejette. Le Père a planifié notre salut éternel, le Fils a pourvu et acheté notre salut éternel, et le Saint-Esprit produit et perfectionne notre salut éternel.

C’en est terminé des personnes. Aucune personne ne peut retirer notre salut. Jérémie 31 :3 résume les choses ainsi. Dieu dit ceci : « Je t’aime d’un amour éternel, » et mon âme se repose sur cette assurance. Inclinons-nous ensemble dans la prière.

Nous allons simplement prononcer une prière puis méditer encore en silence pour finir alors que Steve joue l’orgue pour nous. Ce court temps de méditation est important pour penser à ce que nous avons entendu et pour que cela s’inscrive dans notre cœur, puis la salle de prière sera ouverte à ma droite, le centre pour les membres est ouvert, le centre des visiteurs est ouvert et ceux d’entre vous qui ont besoin d’une aide spirituelle, vous devez avoir l’assurance de notre destinée éternelle, la salle de prière est devant à ma droite. Venez, il y aura des personnes qui aimeront parler avec vous et le feront avec gentillesse et sagesse.

Père, nous Te remercions pour la célébration continuelle que nous apprécions dans Ta Parole qui nourrit notre âme, nous donne de la force, produit la joie, l’espérance même face aux difficultés de la vie. Merci pour l’œuvre puissante du Saint-Esprit qui nous assure de notre gloire éternelle. Nous savons que si nous sommes vraiment à Toi, nous ne perdrons jamais notre salut, et si nous pouvions le perdre, le Saint-Esprit devrait recommencer Son œuvre encore et encore. Rien dans les Ecritures ne nous confie qu’une telle chose existe, mais plutôt c’est une œuvre que Tu as jugé bon de faire, que Tu as déterminé de faire et que Tu feras. Nous t’honorons, Père, et nous T’honorons Fils. Nous T’honorons Saint-Esprit, pour tout ce que Tu as fait pour nous qui sommes indignes, tout cela par grâce. Remplis-nous de joie, d’espérance et de motivation pour ce que Tu as pour nous tant que nous sommes ici, puis pour ce que Tu as préparé pour nous lorsque nous entrerons dans Ta présence. Attire à Toi ceux qui ne Te connaissent pas et qui n’ont pas encore reçu ce cadeau du salut. Qu’ils s’éveillent à la foi afin d’accepter Christ comme leur Sauveur et leur Seigneur, nous prions en Son nom.

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